STÉRÉO

[ Philippe Decouflé / Cie DCA ]
Création 2022
Date(s) :  du 13 octobre 2022 au 15 octobre 2022
Horaire(s) :  20h
Chorégraphie et mise en scène : Philippe Decouflé
Assisté d’ : Alexandra Naudet
Avec : Baptiste Allaert, Vladimir Duparc, Eléa Ha Minh Tay, Aurélien Oudot, Violette Wanty Musiciens Arthur Satàn (guitare voix), Louise Decouflé (basse), Romain Boutin (batterie) Lumière et régie générale Begoña Garcia Navas
Décor : Jean Rabasse assisté d’Aurélia Michelin
Costumes : Philippe Guillotel assisté de Jean Malo et Catherine Coustère
Vidéo : Olivier Simola
Régie lumière : Grégroy Vanheulle
Régie plateau : Anatole Badiali
Régie son : Pascal Mondaz
: (Générique susceptible de modifications)
Directeur délégué : Frank Piquard
Directeur technique : Lahlou Benamirouche
Chargée de production : Julie Viala
Assistante de production : Salomé Farge
Durée :  1h20

Depuis 2014, lors des festivals Exit/Via pour lequel Philippe Decouflé avait créé une myriade d’Opticons, accueillir cet artiste prolifique et hors norme est une véritable fête qui se prépare, à mi chemin entre un joyeux cabinet de curiosité et une ahurissante pièce montée de laquelle fuse toute la saveur du spectacle vivant.

Comme pour chaque aventure artistique, il permet au spectateur d’assembler, comme bon lui semble, les éléments de sa mise en scène chorégraphique comme les pièces d’un puzzle aussi inédit que jubilatoire.

« Stéréo » est le résultat d’une envie de vitesse, de brillance, de virtuosité, d’énergie, de rock’n roll. Une énergie brute qui serait à elle seule le fondement du spectacle, portée par une équipe jeune aux talents multiples et complémentaires. Sur une base de trio rock – guitare, basse et batterie – je cherche une danse dessinée, organique, qui accueille l’acrobatie comme un complément jouissif et spectaculaire, une danse qui bondit et rebondit, qui fuse et qui jaillit, jusqu’à l’essoufflement. La forme est hybride, entre concert et spectacle, et musique et danse ne font plus qu’un, ensemble. Les corps oscillent entre énergie et douceur, vitesse et tendresse. C’est aussi un jeu avec le temps, qui, comme dans la vie, se contracte, s’étire ou se répète en d’infinies variations. À travers ces boucles, on parle d’amour, toujours, on joue, déjoue et tord les stéréotypes et archétypes, pour les ré-agencer dans des combinaisons explosives. »

Philippe Decouflé