« Dans le désert, rien n’est superflu, il ne reste que la nécessité. » Bouchra Ouizguen et la compagnie nationale de danse contemporaine norvégienne Carte Blanche nous emmènent aux portes du désert. Pour y survivre mieux vaut être un groupe solidaire. Le groupe d’individus que forment les danseurs sur le plateau gravitent, tournoient, tourbillonnent, vrillent jusqu’à l’ivresse ou l’épuisement aux sons des percussions traditionnelles marocaines. Comment dans ce cas définir une trajectoire et la suivre, remplir notre rôle et demeurer concentrés, tandis que nous sommes happés par cette tornade sans début ni fin ?
Avec le Festival d’Automne à Paris