Jean Bellorini confie à Valère Novarina la réécriture du mythe d’Orphée. Dans un monde en cendres, une communauté d’âmes en peine cherche à réanimer le langage et à réenchanter l’espace… À la consumation du langage, répond l’éclat du verbe qui s’allume. À la descente progressive aux enfers, répond la joie d’être au monde.
En écho lointain au mythe d’Orphée, Le Jeu des ombres sera une plongée joyeuse dans une langue exubérante, en dialogue avec les grands thèmes musicaux de L’Orfeo de Claudio Monteverdi.