Par le biais d’un assemblage de différentes sources et références,Latifa Laâbissi se sert de la performance comme geste de libre composition d’identités et de subversion des codes et systèmes sociaux, idéologiques et symboliques. Pièce hybride pour quatre interprètes, White Dog tente un pas de côté, un mouvement de recul, une esquive ou encore une torsion afin de passer les frontières et d’éviter les ornières de nos assignations. La scénographie de Nadia Lauro intervient comme une traduction plastique et tactile du lien, de la liane.
Avec le Festival d’Automne à Paris